Colloque EPS – novembre 2019
Il y a près de trente ans, l’EPS connaissait une mutation avec l’introduction de l’enseignement modulaire et la notion de compétences formulés en acquis d’apprentissages.
Les enjeux de l’EPS sont de penser et créer les formations de demain à partir de l’analyse du terrain ou l’expression de besoins ; de décloisonner les partenariats et les relations avec les autres acteurs de la formation initiale ou continue, que ce soit en faisant des ponts facilitant la transition du secondaire au supérieur, ou par la création de formations mutualisant les ressources ; individualiser ses enseignements en prenant en compte l’hétérogénéité de ses publics.
Cette dernière notion est particulièrement importante puisqu’elle est au centre des missions de l’EPS, en particulier pour les publics fragilisés. Par sa forme d’enseignement différente, l’EPS permet d’accompagner les apprenants, de leur rendre confiance en leurs compétences et les rendre acteurs de leur formation.
L’avenir de l’EPS se situe dans une approche de la formation en spirale, c’est-à-dire un continuum dans lequel l’individu continue à se former tout au long de sa vie.
Le colloque du 26 novembre 2019 s’est placé dans le contexte d’une volonté politique nationale et européenne clairement affichée depuis de nombreuses années maintenant, visant à mettre en place des parcours d’éducation et de formation tout au long de la vie plus fluides, de qualité et davantage centrés sur l’apprenant.
La journée du 26 novembre a eu pour ambition de présenter de manière très concrète, à travers divers ateliers, des exemples de coopération fructueuse entre l’EPS et différents partenaires publics ou privés, en vue d’en susciter d’autres, mais également d’entendre des propositions d’amélioration des dispositifs afin de pouvoir proposer des pistes d’action en ce début de législature.
Les enjeux de l’EPS sont de penser et créer les formations de demain à partir de l’analyse du terrain ou l’expression de besoins ; de décloisonner les partenariats et les relations avec les autres acteurs de la formation initiale ou continue, que ce soit en faisant des ponts facilitant la transition du secondaire au supérieur, ou par la création de formations mutualisant les ressources ; individualiser ses enseignements en prenant en compte l’hétérogénéité de ses publics.
Cette dernière notion est particulièrement importante puisqu’elle est au centre des missions de l’EPS, en particulier pour les publics fragilisés. Par sa forme d’enseignement différente, l’EPS permet d’accompagner les apprenants, de leur rendre confiance en leurs compétences et les rendre acteurs de leur formation.
L’avenir de l’EPS se situe dans une approche de la formation en spirale, c’est-à-dire un continuum dans lequel l’individu continue à se former tout au long de sa vie.
Le colloque du 26 novembre 2019 s’est placé dans le contexte d’une volonté politique nationale et européenne clairement affichée depuis de nombreuses années maintenant, visant à mettre en place des parcours d’éducation et de formation tout au long de la vie plus fluides, de qualité et davantage centrés sur l’apprenant.
La journée du 26 novembre a eu pour ambition de présenter de manière très concrète, à travers divers ateliers, des exemples de coopération fructueuse entre l’EPS et différents partenaires publics ou privés, en vue d’en susciter d’autres, mais également d’entendre des propositions d’amélioration des dispositifs afin de pouvoir proposer des pistes d’action en ce début de législature.
